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Nous connaisons tous plus ou moins ce qu'est le complexe d'oedipe.

si on s'en réfère au ROBERT qui en donne cette définition:" conflit inconscient dans ses désirs à l'égard de ses parents, au quel est confronté, selon FREUD, tout individu au cours de sa première enfance"  voila, on en serait débarrassé après sa première enfance.... c'est une théorie toute Freudienne lequel Freud commence à être contesté.....! comme beaucoup de théories d'ailleurs ce qui permet de faire avancer le " schmilblick" du nom du célèbre jeu du non moins célèbre animateur  Monsieur Guy LUX.

Puisqu'on fait bouger les choses en remettant en cause  certaines théories, pourquoi ne pas les faire bouger en avançant la sienne propre? Nous sommes des gens bien pensant qui avons tous des penchants pour quelque chose qui soit. Le mien...je devrais dire mes penchants, car j'en ai beaucoup qui m'embarrasse de beaucoup de questions qui m'obligent à en trouver les réponses afin de ne pas me sentir affreusement vide à l'intérieur.

Donc un de mes penchants est d'analyser mon vécu afin de me situer dans l'espace/temps autant que de faire l'analyse de ce que font ou ne font pas les autres sans pour autant leur jeter l'anathème, ce qui permet de trouver à travers les défauts et qualités leur cause. Cette démarche revêt l'individu qui la fait d'une sorte de bienveillance à l'encontre de son entourage, ce qui n'est pas sans poser quelques problèmes, car ne dit-on pas "qui comprend pardonne" ?..........

Ma théorie, établie de par mon vécu, considère que si ce que dit le ROBERT, est admis et vraisemblable, il y a pour mon compte des extensions qui vont en deçà de la prime enfance, selon les situations familiales et ces extensions font qu'il y a ancrage dans l'affect du futur individu qui aura vécu des temps forts qui l'accompagneront toute sa vie même s'il s'en défendra par quelques écarts de règles de vie qu'il s'autorisera écarts qui auront le contraire de l'effet escompté, c'est-à-dire se débarrasser de ses chaînes mais qui feront s'entraver la personne en question  avec les chaînes du remords que les écarts auront suscité.  

Je connais une personne qui illustre parfaitement cette situation.

Dernier né d'une famille de quatre enfants, après une première enfance chaotique dûe à des évênements extérieurs à la vie familiale mais ayant eu des répercussions à l'intérieur de la cellule que forme une famille, sa deuxième enfance ne connut pas de répit; la maladie du père l'oligeant à être hospitalisé durant de longues années, tout le désordre en découlant occasionnant l'affairement et la sollicitude de sa mère envers ce grand malade, puis finalement le décès de celui-ci qui généra une autre situation alors qu'il n'était pas adolescent.
Ces évênements s'imprégnèrent en lui et modifièrent le comportement qui aurait dû être le sien, celui d'un adolescent s'émancipant de l'attraction du milieu familial. Ses actions, ses déplacements, ses pensées, ses envies, ses souhaits, ses ambitions, ses espoirs, quoiqu'il pensa, quoiqu'il fit, il y avait toujours ce fil d'ariane qui le reliait à sa mère non pas pour le mettre en sécurité comme le fait ce fil qui suit le plongeur dans un milieu hostile, mais poue ne pas laisser à la traîne, abandonner ou perdre dans l'océan de la vie cette mère qui n'avait pas eu la protection que doit avoir une mère de famille de son conjoint puisqu'il n'y avait pas de solidarité nationale avérée.

Le chemin qui s'ouvrait à sa prime adolescence était déjà caillouteux. Il le prit en ignorant la douleur que les pierres lui occasionnaient aux pieds. Cette douleur l'aidait à surmonter son angoisse et et puisqu'il était dans le virtuel il y glissa un peu plus en s'inventant un décor supportable, tant visuel qu'intellectuel. c'est ainsi qu'il s'inventait des idylles nourries par les flirts qu'il étouffait dès leur ébauche..........

Un jour je partirai
Sur une routre ensolleillé
Ou grise de pluie
Retrouver la blonde cendrée
Qui m'a longuement regardé
Et ensuite m'a souri
Je partirai tout droit
Franchissant les détroits
Les champs et les rivières
Je me moquerai du froid
Qui me rongera les doigts
Et me piquera les paupières
Je me moquerai de la chaleur
Qui au long des heures
Me brûlera la peau
Car je retrouverai sa candeur
Je retrouverai sa fraîcheur
Et m'y raffraîchirait comme à un ruisseau

Les barrières humaines s'ouvriront devant moi
Et je la verrai au bout du chemin
Ses yeux slaves fixés dans les miens
Je ne lui offrirai que mon émoi
Et mon immense peine
Et elle sa bouche vermeille 
Et son être frissonnant
Je me sentirai alors fort
Et courbant les gens sous ma main
Je partirai loin encore
Accomplir notre destin
Nous partirons ensemble
Vers un pays lointain
Couvert de bois d'érable
Et de forêts de pins
J'y construirai une maison
Pour protéger son ventre fécond
Qui emplit de germes d'amour
                                un jour
Reposant sur un lit
Elle changera en germes de vie..................

Monsieur Nicolas hulot a l'autre soir été l'invité du journal de 20 heures sur une chaine TV publique. Il avait disparu de la scène publique et politique lors de son évincement du débat qui devait aboutir à la désignation du candidat à l'élection présidentielle, qui a vu Mme Eva joly récolter les lauriers.....

Pourquoi un homme son envergure n'a-t-il pas obtenu le confiance de la classe des écologistes?

Après s'être fait oublié un temps, temps où il a digéré et évacué cette mésaventure qu'il a ensuite méditée pour en sortir ce concentré de réflexion: "l'écologie est au dessus des partis politiques" . Il faut bien lire que partis est écrit au masculin/pluriel, donc il s'agit bien de ces groupes de pensées différentes qu'il s'agit, non pas des "parties" écrites au féminin que certains hommes politiques mettent au dessus des partis dont il est question.  

Nicolas HULOTest un homme d'action qui ne peut  ni s'accomoder ni cheminer dans les méandres de l'esprit politicien qui prédomine, tout comme n'a pas pu s'en accomoder le Général BIGEARD qui, promu ministre a démisssionné ne pouvant valider les ambiguités, les bassesses, les turpitudes politiciennes.

Nicolas HULOT peut-il se targuer de radicalisme? Quand on comprend que la réflexion empêche l'homme d'action d'agir, on serait tenté de le classer dans cette catégorie de personnes.

Son parcours l'a peut-être également incité à soigner son égo? ce qui l'empêcherait  d'accepter le consensus et de travailler en équipe, ses idées étant trop avancées et idéalistes, voire utopiques.....dans l'esprit de cette" COMPLAINTE POUR UNE PLANETE" , que voici:

Les bourrasques du vent des soirées automnales
N'avaient des frimas donné que le faux semblant
Quand les gels vinrent raidir les brises hivernales
Les accrochant aux arbres en les frangeant de blanc

Le froid s'étendit aux plages de sables fin
Où il entreprit d'emprisonner la mer
Qui s'évadait toujours vers ce loin sans fin
Les glaces la suivant comme des petits leur mère

Enfin les campagnes s'éveillèrent aux aurores printanières
S'humectant de rosée les feuillées de jasmin
Balancèrent aux zéphirs leurs frêles tiges florifères
Qui avaient apporté leurs notes gaies aux jardins

Puis vinrent de longs été secs et torrides
Où bêtes et gens écrasés de torpeur
Attendaient pour gratter une pauvre terre aride
Qu'avec le soir leur vienne un peu de fraîcheur

Ajoutant son horreur à cette canicule
La guerre plombait le ciel avec fureur
Elle sifflait aux oreilles d'enfants crédules
Qui attendaient que le soir calme leur frayeur

L'automne a rougeoyé dans le profond des fourrés
Préparant le linceul des feilles condamnées
invitant les dernières fleurs épanouies dans les près
A s'offrir aux bourdons pour l'ultime hyménée

Là-bas sur la grève la dernière dune
dernier bastion barrant la mer
Se dressait solitaire sous la lune
je la foulais lentement le coeur amer

La vague la lèchait comme un animal ami
Et sa langue mazoutée générant le dégoût
Semblait vouloir dire dans ce geste non soumis
Reprenez donc humains nous ne sommes pas un égoût

Sur le sable se tenant les mains
deux jeunes gens abandonnent leur enfance
mettant en couleurs leurs lendemains
ils les nourrissent d'une fervente espérence

Mais les mois de Mai ne tiennent pas tous leurs promesses
Il en est qui vident le ciel en longs pleurs continus
Diluant des mouettes les cris rauques de détresses
Quand en vols incertains elles errent dans les nus

De cette planète qui se grise de sa ronde inlassable
Mouvant ses océans vers des rivages meurtris
Où les flots tumultueus en roulant sur le sable
Grondent leur colère comme ces foules d'incompris

Où se mèlent le sobre et l'avide
L'un tirant de l'autre la substance
Afin de tromper l'angoisse du vide
Dans lequel flotte toute existence

Que la science immodéréedans sa quête
Ambitieuse et athée réfutant l'inné
En maîtresse de ses fioles et éprouvettes
Modifie en engendrant nouveaux-nés

Alors qu'amoindris sur leur lit d'hopital
Des gens appelés pour le dernier voyage
Attendent résignés cet instant fatal
Qui leur fera laisser là leur bagage

Sommes nous ces amphibiens des tout premiers âges
Des profondeurs de nos mères émergerons-nous toujours
Puissent-elles alors nous faire devenir sages
Afin qu'en naissant nous criions à la terre notre amour................ 

Puisqu'avec internet et ses sites d'échanges il est possible de parler de tout et n'importe quoi n'importe comment sans être immédiatement contre-dit ou porté en dérision, essayons de parler peu mais bien.

Qu'est la religion?

Qu'est la politique?

A la première question on peut répondre que s'il y a un DIEU, il est commun à tous les hommes, seules les différentes civilisations y adaptent son entité.

Il faut aussi reconnaître que la réflexion de PASTEUR qui disait qu'un peu de science éloigne de Dieu mais que beaucoup de science nous en rapproche, avec les découvertes et leurs analyses et l'analyse des analyses faîtes dans beaucoup de domaines qui nous amènent à la quintessence font que nous nous éloignons à nouveau de Dieu.....

Les peuplades, disons, afin de préserver l'intégrité de l'être humain, "les minorités" qui vivaient qui vivaient dans les contrées tropicales où la végétation luxuriante les protégeait les unes des autres, avaient laissé à certains individus ayant une sensibilité plus affinée ou une intelligence plus analyste, le soin de les guider spirituellement. C'est ainsi, probablement, que Chamans et sorciers avaient pris un pouvoir sur les tribus et, frisant la schyzophrénie, sous prétexte d'entendre les voix divines, en invitant les chefs aux incantations, leur faisaient accepter les sacrifices humains, sensés apporter réussite au clan..................

Dans la jungle épaisse
à l'abondante fondraison
une indienne prètresse
psalmodie une oraison

Sur une pierre plate
fumante de sang
un homme à peau mate
immole un enfant 

Pour plaire à leur Dieu
en plus des prières
ils ont ce geste odieux
qu'ils font dans la lumière

Du jour finissant
Que tamise le dense feuillage
Enlever la vie d'un enfant
Dans son plus jeune âge

Un regard pur et clair
Etonné le visage émacié
En sentant dans sa chair
Le tranchant de l'acier

Ils ont vaincu l'ennemi
Qu'est la tribu voisine
Des femmes tué les maris
Des huttes fait les rapines

Tenant par les cheveux
les têtes fraîchement coupées
Autour de grands feux
se sont mis à danser

Tandis que l'homme
Immolant l'enfant
d'une voix rauque entonne
Un lugubre chant

Dans ses mains tenant
Le foie et le fiel
Ses bras les élevant
Vers le ciel........

...........ce matin, en datant un courrier, j'ai écri "le 13 mars ", c'est six jours avant le 19 mars. Pourquoi préciser cette date? Parce que ce sera le jour de la commémoration de la signature du cessez le feu en Algérie en 1962...........j'étais revenu de cette guerre deux ans plus tôt.

Cela vous dit quelque chose? Si vous êtes parmi les huit français sur dix qui associent cette date à cet évènement célébré par une association d'anciens combattants de cette guerre vous savez sans avoir lu les premières lignes de cet article, que ce cessez le feu date de cinquante ans...........pourquoi rappeler un évènement vieux d'un demi siècle? parce que les médias s'en sont faits l'écho tant dans une certaine presse écrite que sur une chaine TV.

Une certaine presse titre "cette guerre qui pouvait être évitée" c'est à mon avis moins sûr, mais là n'est pas mon propos. Mon propos n'est pas de faire l'apologie de la politique de l'époque mais de mettre l'accent sur ce qua été cette guerre pour ceux qui y ont été engagés malgré eux, comparée à celle où sont engagés les soldats de l'armée de métier de maintenant.

A une époque pas très lointaine, un éminent éditorialiste d'une presse de renom avait écrit un article sur les évènements qui perturbaient la vie intérieure Algérienne, et en avait fait une extension sur la guerre que la France y avait menée il y a cinquante ans en la décrivant de "guéguèrre"...........il faut préciser que l'état français à cette époque n'avait pas encore reconnu qu'il s'agissait bien d'une guerre qui avait été menée.

Cet éditorialiste devait s'appuyer sur les conflits qui avaient secoué l'humanité et, évidemment en faire une comparaison paraît tout à fait innaproprié . Quelques furent les guerres, un projectile qui trouve sa cible, un homme en l'occurence, pour lui c'est la fin du monde..........Pour ce qui de la guerre d'Algérie trente mille militaires appelés du contingent y ont trouvé la mort en huit ans de conflit. Combien sont tombés en Afghanistan en onze ans de présence sur ce territoire?

J'ai pu suivre une émission de TV récemment sur ce sujet. C'est le jour et la nuit entre les deux guerres. D'abord en pertes humaines.....ensuite l'anonymat des victimes tombées en Algérie qui n'avaient pas les honneurs rendus à celles tombées en Afghanistan, en y associant la France entière avec les moyens de communication modernes que l'on connait, mais une discrétion absolue qui consistait à laisser au maire de la commune où résidait le soldat la lourde tâche d'aller, accompagné de deux gendarmes, annoncer la triste nouvelle à la famille.

Une autre différence, celle du volontariat actuel qui s'il existait également à l'époque était marginal. Aujourd'hui, les jeunes hommes qui sont envoyés en Afghanistan sont des volontaires payés qui peuvent rompre leur engagement en cours........tel n'était pas le cas à l'époque de la guerre d'Algérie. 

Autre différence, l'engagé d'aujourd'hui perçoit une paie conséquente alors qu'à l'époque l'appelé recevait une solde au delà seulement de dix huit mois de présence au corps. Quand on dit solde c'est d'un très faible montant qu'il s'agissait.

J'ai été appelé sous les drapeaux en Septembre 1957 et j'ai été libéré de mes obligations militaires en décembre 1959. J'ai été envoyé en Algérie en Janvier 1958, j'y ai donc servi 24 mois dans une unité combattante et opérationnelle.Le 25ème régiment de dragons. J'y ai vécu des moments difficiles ayant participé à tout ce que l'armée était appelée à faire. Cette période m'a incité à écrire des poèmes thérapeutiques, le premier que j'ai écri m'est venu en me rappelant une histoire que j'avais lue dans un livre d'enfant et qui racontait que des gens pour se débarrasser de leur chien allait le jeter au fond d'un puits où d'autres chiens avaient été jetés. Les pauvres animaux rendus fous, s'entre-déchiraient..........

jeté dans un gouffre
où gronde la terreur
tu tremble tu souffre
tu as peur tu meure

tu ne connaissais pas la misère
que les hommes ces fous
se complaisent à faire
pour beaucoup d'entre nous

mais un jour brutalement 
une feuille est venue
te disant sévèrement
viens c'est alors que tu su

que la vie n'est pas faite
de miel et d'amour
tous les jours
et de contantes fêtes

...................et puis cet autre...........

dans le petit matin
émmergeant de l'horizon
le soleil apparait soudain 
illuminant les dragons

déployés sur la plaine
marchant comme des paysans
leur visage reflète une peine
celle de possibles mourants

il a vingt ans 
a du courage
un coeur d'enfant
et il enrage

si aujourd'hui
la mort le prend
mais pourquoi lui
et pas bertrand

il ne doit pas mourir
là bêtement
loin du sourire
de sa maman

près du soleil des éclairs jaillissent
comme un jeu de quille les soldats s'applatissent
les yeux peureux deviennent des fentes
les doigts nerveux cherchent les détentes

qu'est-ce cette douleur dans son ventre
est-ce la peur qui remue dans son antre

là-bas le soleil rougit
les bruits sont plus sourds
il ne faut pas rester ici
mais le fusil est lourd

un homme est sur lui
et qui le tourne
lui ouvre son habit 
et le retourne

la balle est entrée d'un seul coup
et ce méchant bout de férraille
lui a labouré les entrailles
en y faisant un vilain trou

dans une brume légère
qui lui apparaît
le visage de sa mère 
transparaît

d'une main il agrippe la terre
de l'autre celle de l'infirmier
il ne veut pas qu'on l'enterre
il veut vivre fermier

une herbe bouge près de son oeil
une coccinelle y est accrochée
une larme roule de ce même oeil
sur sa joue blanche immaculée

il lève la tête dans un sursaut
comme un poids elle retombe aussitôt
l'infirmier se relève et s'éloigne en rampant
serait-ce son tour maintenant.......


 

Au moyen âge, quand il y avait une tentative d'agression voire une agression avec un présumé coupable et une victime identifié, les tribunaux avant de rendre justice tendaient à rechercher la vérité.

Notre époque qui est devenue une époque de procédures, fait que  les hommes de loi tendent plus à relativiser les délits, afin que les présumés coupables ne deviennent pas eux-mêmes victimes de la justice, les droits de l'homme faisant valoir cela.

Qu'en est-il de la politique? ou mieux qu'en est-il de la légitimité de l'élu?

Son absentèïsme lors des cessions de l'assemblée nationale ou du Sénat fait que des lois sont votées à une très faible majorité, rendant une partie du peuple qui doit les subir peu ou pas favorable.

Ainsi dans les plus hautes instances politiques étroitement liées à la finance qui crée elle le lobbyisme afin de placer des personnes proches de ses idées au plus haut sommet de l'état, personnes qu'elle pourra manipuler avec leur consentement, rendant amers les électeurs parce que trompés par rapport aux promesses électorales.

Autour de cette nébuleuse, gravite une horde de profiteurs qui prétendent participer à l'éducation démocratique du peuple et qui, certes génère une certaine économie aussi paradoxal que cela puiss paraître. Comment? en écrivant pour certains dans des magasines spécialisés, pour d'autres en écrivant de livres......ces gens qui se mettent sur le devant de la scène pensent être l'élite alors qu'ils ne sont que des intellectuels de bas de gamme.

Aussi ne nous étonnons pas si le peuple oublié entre deux échjéances électorales se réfugie dans des communautés ou des sectes..............ou encore dans la religion; mais là c'est une autre dérive générée par la démagogie des uns et le brandissement du spectre du pire des autres, manoeuvres qui n'aboutissent pas au résultat escompté et surtout ce que les électeurs peuvent attendre d'un élu, qu'il apporte sa pierre à l'édifice.

Ce que veulent ces candidats à la plus haute responsabilité de l'état c'est planter le premier son drapeau au sommet de l'histoire en dérangeant au passage les cubes du jeu de construction qui l'ont construite. En tirer parti en se disant que plutot que de diviser une pomme en une multitude de quartiers qui ne permettront à personne d'en avoir le goût, il vaut mieux qu'un nombre de privilégiés puisse l'apprécier et faire part de sa  saveur en incitant à planter l'arbre qui procurera cette satisfaction.

D'autres feront carresser le rêve d'obtenir des terres qui permettront de planter ces pommiers.

Quelle alternative peut avoir la faveur du peuple?.................il faut cependant choisir et élire.......

Alors..........

                         Maintenant qu'il faut ramer sur des humains amers

                          flot porteur des nouvelles ambitions

                          qu'au fil des jours sur les roches durcies des stupides volontés s'abiment ces galères

                           porteuses de nos illusions

                            Quand les paraphraseurs

                            et les redondants

                            auront su en élites

                            aux masses s'imposer

                            quand auront su s'adapter les opresseurs

                            quand ils auront réduit les détracteurs

                            quand les masses cloisonnées et conditionnées

                            seront dominées et dirigées

                            Quand leur soif des plaisirs

                             jamais plus assouvie

                             aux techniques des loisirs

                             les auront asservies

                             quand ces masses soumises

                             pour leur droit au travail

                             et faire vivre le monde

                             devront donner écot

                             quand les poètes devenus immondes

                             n'auront plus d'écho

                             quand seront muettes

                             leurs trompettes

                             de Jéricho

                             quand en fait d'hommes

                             il n'y aura plus qu'androïdes

                             il restera bien un Dieu

                             pour franchir les astéroïdes

                             et repenser l'histoire de la pomme.........................