a propos de l'art

Ce paragraphe est en fait un préambule à l'article que je vais publier dans ce blog à raison d'une page par semaine.

Ce paragraphe n'a d'autre ambition que de me situer dans ce contexte en me présentant en tant qu'entité, dont l'existence s'est imbriqué dans ce long cheminement qu'est la destinée humaine.

Quand on parle de destinée, s'y apparente un processus établi, immuable, dont le carcan peut-être desserré par les desseins de l'homme ce qui sans doute le libère et lui permet de gravir les degrés qui l'ont amené déja de l'obscurantisme à sa forme de pensée actuelle, d'où ont découlé ses réalisations plus ou moins profitables les unes par rapport aux autres.

Ce long cheminement qui a aboutit à l'homme moderne, et, qui, selon les certitudes scientifiques a débuté en AFRIQUE avec " Lucie ".

Ainsi, je serais moi, un Africain parti depuis soixante dix mille ans, du berceau de l'humanité, vers l'hémisphère nord, pour ne citer que lui. J'y aurais perdu ma peau noire au bénéfice de ma peau claire, qui me permet de capter la lumière du soleil, moins agressive qu'en Afrique, afin de profiter de la synthèse de la vitamine H que le soleil déclenche,contribuant à la construction de mon squelette.............

Mais voilà! arrivé à ce stade de mon évolution, je me sens très éloigné de ma tribu, de mon clan, de ma communauté.

Le monde crée par l'homme moderne m'isole au point de me faire me confier, de confier mes réflexions à un blog par l'intermédiaire d'un ordinateur qui les transmets à une communauté spécifique mais invisible et en décalage par rapport au moment où je simule un débat qui est en fait un monologue, et ce par la seule force de l'esprit.

Cette communauté dispersée, dont les membres ne se sentent liés que par le sujet qui, au hasard de leur recherche les interpelle alors que si je développais  ce thème verbalement devant ma propre famille, mon clan, il n'aurait certainement pas l'écoute escomptée.

Pourquoi vais-je parler de l'art selon le concept que j'ai développé au cours de ma propre expérience et, surtout en m'appuyantsur les peintures rupestres? Peut-être parce que en peignant, l'homme des cavernes, l'homme de la préhistoire, peut-être pas si rustre que cela, dont l'esprit était structuré comme celui de l'homme devenu moderne, se profilait déja la perspective évolutive des réalisations liées à toutes les technicités dont en final celle de l'informatique.

En plaçant le terme d'homo-sapien dans le texte ou dans le langage, on s'appuie sur les certitudes scientifiques, donc sur la facilité.

D'autres scientifiques, se libérant du carcan de la certitude, et profitant de l'opportunité des moyens techniques et mécaniques modernes, donnent une autre direction aux recherches, et permettent de découvrir au hasard de fouilles liées à certains travaux de terrassements des sites préhistoriques. Ainsi ces restes fossiles humains, ayant un autre aspect que celui que nous connaissons, mettent à mal la théorie de "Lucie" et du berceau humanitaire duquel aurait migré et ramifié l'espèce humaine.

Il est possible de penser qu'il y a eut des générations spontanées donnant des types différents d'humains qui se sont éteints ou n'ont pas ou ont lentement évolués, attendant une étincelle.....un big bang.

Mais il est possible que toutes les races, arrivées au stade actuel de l'évolution, ont la même intelligence, plus ou moins sollicité, donc plus ou moins entretenue, plus ou moins performante.

A constater ces peuplades dites primitives, qui, quand elles sont confrontées aux expéditions ethnologiques, s'adaptent très vite aux conditions  de vie que les ethnologues leur font découvrir....................